Bien évidemment que non. Non seulement il était parfaitement légal de commencer ce chantier, mais en plus, il faut rappeler que les procédures sont engagées depuis 1985 et que toutes les démarches administratives ont été respectées, avec un soin reconnu par tous les observateurs. L’aboutissement final a été l’obtention d’un arrêté préfectoral, c’est-à-dire de l’Etat, autorisant le chantier.
Dans le détail, la DUP du 26 décembre 2001 a été prorogée par arrêté du 23 novembre 2006 confirmé par le TA en mai 2007, par la Cour Administrative d’Appel en juin 2009 et par le Conseil d’Etat le 23 décembre 2010.
De plus, ce dossier a reçu les avis favorables de la Commission Départementale de la Nature des Paysages et des Sites, de l’Architecte des Bâtiments de France, de l’Autorité Environnementale, du Conseil National de protection de la Nature et du Ministère de l’Environnement.
Toutes les autorisations et tous les avis indispensables à la procédure permettaient donc la réalisation du projet et le démarrage du chantier.